Les turpitudes d'un poète unipolaire

Peu importe le temps

Peu importe le temps

De tes soupirs de tes larmes
Quand les sanglots sont de mise
Tu peux rendre les armes
Rien ne nous divise

De tes pleurs de tes rires
J'ai pris le packaging
Quel que soit le ring
Tu restes mon empire

Peu importe le temps
Tant que se mélangent nos vents
Tant qu'on sent nos âmes
Caresser la même flamme

Sèche tes yeux
Et regarde les miens
Ils deviennent lumineux
Dès que tu me tiens la main

Laisse revenir le soleil
Que dans ta tête naissent des fleurs
Chaque pétale qui y sommeille
Estompera alors la douleur

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Image par J B de Pixabay

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